Pour arrêter une bobine en marche, on appuyait avec un doigt. Quand on n’avait pas l’habitude, on se brûlait. Par la suite des freins ont été installés. Quand une machine restait arrêtée longtemps, les contremaîtres le voyaient dans leur bureau... J’ai passé 45 ans à l’usine, dont 30 comme contredame.
Berthe