« Sans Jonathan, j’aurais peut-être connu la prison. A la base, j’étais un “ bordeleur ” . Par la suite, j’ai pu être universitaire avec un statut de sportif de haut niveau. C’est lui qui m’a amené au club, qui était là tous les jours pour m’entraîner. Mes victoires internationales, c’était une façon de le remercier. A travers son travail d’artiste il m’a aussi témoigné de son amitié. »
P’tit Jo