« J’ai connu Sati il y a vingt-cinq ans. Ce n’était pas un gamin facile. Depuis, nous sommes restés très solidaires. C’est une chance extraordinaire de rencontrer des personnes en souffrance qui ont des parcours tortueux. Et c’est aussi une grande responsabilité. Les uns doivent révéler les autres. C’est ce que nous faisons dans notre club de boxe. »
Yves