Le boulot ne me fait pas peur. Je travaille en poste en usine et je suis aussi ouvrier agricole au GAEC Bayart. J’effectue 60 heures mensuelles sur toute l’année. Nous sommes nombreux dans cette situation.
Je coupe du chou-fleur depuis trente ans. Il faut avoir ça dans le sang. Celui qui n’aime pas ce travail ou qui vient de la ville, il ne va pas s’y faire. C’est difficile de s’adapter au marais. Maintenant qu’il y a le tapis, il y a moins de manutention et on est moins courbé.
Jean-Luc